Deponiebewilligung für Siedlungsabfall für Reaktordeponie Cholwald

Entscheid
BGEr, Urteil vom 15.05.2000
Relevante Erlasse
SR a173.110, alt Bundesgesetz über die Organisation der Bundesrechtspflege (OG) (16.12.1943) Art. 99 (Abs. lit. e)

Leitsätze

Der in Art. 99 lit. e OG statuierte Ausschlussgrund für die Verwaltungsgerichtsbeschwerde ans Bundesgericht betrifft nur das technische Funktionieren einer Anlage und nicht deren umweltschutzrechtlichen Auswirkungen (E. 1b). Die umstrittene Übergangsfrist verstösst nicht gegen Treu und Glauben, da sie nicht in wohlerworbene Rechte eingreift (vorliegend geht es nur um eine Rodungsbewilligung, also um eine Polizeierlaubnis), sich nicht ohne zureichenden Grund über frühere Zusicherungen des Gesetzgebers hinwegsetzt und auch nicht zur gezielten Verhinderung des vorliegend umstrittenen Projektes erlassen wurde (E. 3c). Mit der Rodungsbewilligung vom 29. August 1994 hat das EDI als – damals – zuständige Bundesbehörde im Rahmen eines koordinierten Verfahrens und aufgrund einer Interessenabwägung an sich verbindlich festgestellt, dass eine Deponierung von Siedlungsabfall in der Deponie Cholwald noch bis Ende des Jahres 2002 möglich sei und dem Interesse an…

Autorisation de stockage des déchets urbains dans la décharge contrôlée bioactive de Cholwald

Arrêts intégral
BGEr, Urteil vom 15.05.2000
Actes législatifs
SR a173.110, Loi fédérale d’organisation judiciaire (OJ) (16.12.1943) art. 99 (al. lit. e)

Regeste

Le motif d'exclusion du recours de droit administratif au Tribunal fédéral prévu à l'art. 99, let. e, OJ concerne uniquement le fonctionnement technique d'une installation et non pas ses effets du point de vue de la protection de l'environnement (cons. 1b). Le délai transitoire litigieux n'est pas contraire au principe de la bonne foi, car il ne porte pas atteinte à des droits acquis (il s'agit en l'espèce d'une autorisation de défricher, soit d'une autorisation de police), il ne s'écarte pas sans raison valable des assurances données précédemment par le législateur et il n'a pas été édicté dans le but d'empêcher la réalisation du projet contesté en l'espèce (cons. 3c). Par décision du 29 août 1994 autorisant le défrichement, le DFI – qui était l'autorité compétente à l'époque – a constaté de manière en soi déterminante, dans le cadre d'une procédure coordonnée et…

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