Résumé

L’affaire de Wädenswil s’inscrit dans la suite des réflexions du Tribunal fédéral sur la problématique des cloches d’église. Dans cette affaire, la première Cour de droit public a été divisée. On se trouve probablement aux limites de l’exercice d’une jurisprudence qui cherche à concilier le poids de la tradition et celui de la protection du repos nocturne. Confronté au bruit traditionnel des cloches d’église, le Tribunal fédéral a d’emblée relevé l’impossibilité de concilier les intérêts en présence, lorsque les cloches engendrent des réactions de réveil, et la difficulté d’envisager des mesures, techniques ou d’exploitation, sauf à détourner de leur but ces sonneries. A ce jour, aucune des affaires remontées jusqu’au Tribunal fédéral n’a invité la Haute Cour à remettre en cause le maintien des sonneries, même s’il se dégage de la jurisprudence précédente qu’un niveau de bruit de 60 dB, de nuit, peut entraîner des réactions de réveil, et devrait donc être évité.

L’esposizione dei ricorrenti al rumore delle campane della chiesa durante la notte non può essere considerata una molestia grave (consid. 4 e 6.2). L’unica controversia in questo caso è se debba essere impostata la cessa- zione dei rintocchi ogni quarto d’ora tra le 22.00 e le 7.00 come limitazione preventiva delle emissioni. Ulteriori limitazioni, in particolare la cessazione dei rintocchi ogni ora, non sono più oggetto di controversia (consid. 5). In base ai principi di prevenzione e di proporzionalità, si possono pren- dere in considerazione varie misure per limitare le emissioni causate dai rintocchi delle campane. Tra le altre cose, è possibile programmare il mec- canismo in modo tale da ridurre la pressione del rintocco durante la notte: ciò è pratica comune in varie città. Tutta-via, questo provvedimento non è stato proposto e discusso dalle parti (consid. 5.1.). L’effetto molesto delle campane notturne è stato descritto per la prima volta negli…