Sanierung einer Schiessanlage; Lärmschutz

Hinweis
BGer I. öff. Abt., Urteil vom 21.04.2005
Relevante Erlasse
SR 814.41, Lärmschutz-Verordnung (LSV) (15.12.1986) Art. 13 (Abs. 2)
SR 814.41, Lärmschutz-Verordnung (LSV) (15.12.1986) Art. 14 (Abs. 1)
SR 814.41, Lärmschutz-Verordnung (LSV) (15.12.1986) Art. 14 (Abs. 1)

Leitsätze

Bei der Schiessanlage von Malix GR können durch die vorgesehenen Sanierungsmassnahmen (Bau von Lärmschutztunnels und die Reduzierung des Schiessbetriebs auf das Niveau einer Pegelkorrektur [PK] von K= –21 [statt –18.7]) die Immissionsgrenzwerte nicht überall eingehalten werden. Deshalb stellte sich die Frage einer Stillegung der Anlage und einer Zwangszuweisung der Malixer Schützen auf die Schiessanlage Rossboden in Chur. Eine solche Zuweisung wäre evtl. rein technisch und betrieblich möglich und vom Aufwand her wohl auch zumutbar gewesen. Dennoch war es jedenfalls nicht bundesrechtswidrig und die kantonalen Behörden handelten im Rahmen ihres Ermessens, wenn sie auf eine solche Zwangszuweisung verzichteten. Bei einem solchen Entscheid dürfen nämlich auch andere Faktoren wie etwa die Gefährdung des aktiven Dorflebens durch die Stillegung des Schiesstandes und die damit eingeleitete Auflösung des traditionell im Dorf stark verwurzelten…

Assainissement d’une installation de tir; protection contre le bruit

Hinweis
BGer I. öff. Abt., Urteil vom 21.04.2005

Regeste

Les mesures d’assainissement prévues pour l’installation de tir de Malix (GR) (construction de tunnels anti-bruit et réduction des opérations de tir à une correction de niveau K = –21 [au lieu de –18.7]) ne permettent pas de respecter en tous lieux les valeurs limites d’immission. C’est pourquoi, il a été envisagé de cesser l’exploitation de l’installation et de contraindre les membres de la société de tir de Malix à utiliser l’installation de tir de Rossboden, située à Coire. Une telle mesure serait éventuellement possible sur le seul plan de la technique et de l’expoitation et s’avérerait également tolérable du point de vue de l’investissement temporel. Toutefois, en renonçant à prendre cette mesure, les autorités cantonales n’ont en aucun cas violé le droit fédéral et ont agi dans le cadre de leur marge d’appréciation. En effet, lorsqu’il s’agit de prendre une telle décision, d’autres facteurs peuvent aussi…

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